La compagnie prend le nom de Mandéka théâtre. Quelques mois plus tard, Alioune Ifra Ndiaye, jeune réalisateur et opérateur culturel de 27 ans, rejoint le noyau fondateur. Un stand up de kotèba et une tragédie antique – Antigone – ouvrent l’aventure. « 52 » est le titre du premier spectacle produit par le Mandéka Théâtre…

1998

BlonBa

Habib Dembélé et Sotigui Kouyaté ne souhaitant pas poursuivre l’aventure du Mandéka Théâtre, Alioune Ifra Ndiaye et Jean-Louis Sagot-Duvauroux créent la compagnie BlonBa, qui prend le relais de cette expérience réussie…

Des amis

La compagnie BlonBa a régulièrement bénéficié d’apports en coproduction de la part de théâtres amis : en France les centres dramatiques nationaux d’Aubervilliers, de Montluçon et d’Angers, les scènes conventionnées du Blanc-Mesnil, de Choisy-le-Roi, d’Ivry-sur-Seine…

la vie continue

Il est d’autant plus navrant que dans la même période, BlonBa se soit trouvé dans l’obligation de fermer sa salle bamakoise, aux prises avec les difficultés nées du coup d’État du 22 mars 2012 et de la cupidité de la propriétaire des murs…

La branche BadoDa

En 2019, Alioune Ifra Ndiaye a souhaité rompre le binôme qu’il avait formé avec Jean-Louis Sagot-Duvauroux pour conduire BlonBa. Ce tronc fécond s’est ainsi dédoublé. BaroDa en est une des branches.

Des coproductions prestigieuses

BlonBa, puis BaroDa,  ont été régulièrement sollicité pour participer comme co-producteur, soutien logistique et intervenant artistique dans des créations liées à la vie culturelle du Mali. Claude Yersin, lorsqu’il dirigeait le Centre Dramatique National d’Angers a sollicité le concours de BlonBa pour les spectacles qu’il a créé au Mali : Electre, Caterpillar. La compagnie a  été fortement impliquée dans le Tête d’or de Paul Claudel, créé à Bamako par le metteur en scène français Jean-Claude Fall devant deux mille spectateurs conquis, puis présenté pendant cinq semaines au théâtre parisien de La Tempête. BlonBa a également également été partie prenante du projet chorégraphique international We almost forgot, du chorégraphe nigérian Qudus Onikeku, ainsi que des pièces Moi, ma chambre, ma rue et Bazin, du chorégraphe et danseur malien Tidiani Ndiaye. La compagnie participe activement à l’Essonne-Mali Festival (EM FEST). La participation de la metteure en scène franco-slovaque Maria Zachenska à la vie de l’antenne française de BlonBa et du théâtre de l’Arlequin, a conduit la compagnie à l’accompagner dans ses adaptations pour deux clowns de Macbeth, d’Othello et de Richard III (Shakespeare).

Nos Lieux

La Maison des solutions

Le réseau Culture en partage s’est installé dans une belle et vaste villa du quartier du Golf (Commune 5) baptisée par ses usagers : La maison des solutions. Elle abrite la startup We’re solution (création numérique), le Collectif de la jeune création malienne composé de quatre compagnies émergentes en théâtre et en danse, les éditions numériques BiBook, l’administration du projet « Nuits citoyennes de Sabalibougou », l’association Promotion des arts au Mali (régie culturelle), les activités de BaroDa/Culture en partage, un studio d’enregistrement audio et vidéo, un studio de reprographie… Le réseau ainsi constitué et la Maison des solutions ont vocation constituer un centre de ressources multifonctionnel à disposition des artistes et des acteurs de la culture. Cet espace constitue déjà un des pôles de la vie culturelle bamakoise.

Le Complexe Culturel BlonBa

Alioune Ifra Ndiaye a réouvert en 2017 un nouvel espace de culture et de divertissement, le Complexe Culturel BlonBa (CCB). Ce vaste ensemble géré par Wokloni SA et situé dans le quartier Baco Djikoroni (Bamako, Commune 5) dispose de bureaux, d’une salle modulaire, d’un amphithéâtre et d’une salle utilisée comme espace de rencontre, restaurant, café concert… Une salle de répétition est à disposition des compagnies travaillant dans le spectacle vivant.

Le théâtre de l’Arlequin

BaroDa existe aussi sous la forme d’une antenne permanente basée en région parisienne. Cette antenne, dirigée par Jean-Louis Sagot-Duvauroux, cofondateur de la compagnie, s’est vu confier le théâtre de l’Arlequin, à Morsang-sur-Orge, dans le département français de l’Essonne. Elle a assuré la production de nombreux spectacles créés à Bamako par la compagnie : L’Homme aux six noms, Plus fort que mon père, La danse ou le chaos, Ala tè sunogo/Dieu ne dort pas… et elle porte plusieurs projets en cours (Les énigmes du Kongka, La passion d’Issa Youssouf, La chair des sons…)

Nos tournées

Les spectacles de BlonBa, puis BaroDa, ont été diffusés dans les capitales et souvent les régions de treize pays d’Afrique, d’Europe, d’Asie et d’Amérique du Nord : Mali, Sénégal, Guinée, Côte d’Ivoire, Bénin, Centrafrique, RDC, Tunisie, France, Luxembourg, Belgique, Canada, Inde. De nombreux festivals africains ou européens les ont programmés…

Depuis 2007, BaroDa (ex-BlonBa) est membre de la Copat, une coopérative vouée à la captation audiovisuelle du spectacle vivant qui réunit une cinquantaine d’institutions francophones prestigieuses (en France : L’Odéon, La Criée, Les Amandiers, L’Oeuvre , le théâtre du Rond-Point, le Tnp Villeurbanne… En Suisse Vidy-Lausanne… En Belgique le Théâtre national…)…

Dans la presse et sur la toile

Antigone

«La troupe malienne du Mandéka Théâtre accueille cérémonieusement son Antigone noire, dans l’économie d’une parole précieuse comme l’eau […] Dans l’adaptation toute de finesse et de connaissance du terrain de Jean-Louis Sagot-Duvauroux et Habib Dembélé, la tragédie antique ne change pas de destination, mais de cours.»
Le Monde du 27 janvier 1999

Le Retour de Bougouniéré

«Cette troupe d’acteurs maliens évoluant entre burlesque fracassant et tendresse touchante est for-mi-da-ble. Le texte savoureux de Jean-Louis Sagot-Duvauroux aborde des problématiques qui font débat au Mali, l’émigration et le retour au pays, la tradition et l’évolution des moeurs. Une excellente manière de partir à la rencontre d’une culture de l’échange, du mot gourmand et de la suite dans les idées. À voir absolument, en famille.»
Libération, 28 novembre 2001 (supplément Paris Mômes)

Ségou Fassa

«Le temps court à toute vitesse… L’humour est sans cesse talonné par le tragique. Les mots sont volontairement crus et les gestes sans équivoque. Une véritable immersion au coeur des mythes fondateurs de la culture bambara. Au coeur aussi de la crise morale qui taraude l’Afrique contemporaine…»
La Montagne, 9 novembre 2002

Bougouniéré invite à dîner

«Une satire sociale féroce et d’une extrême drôlerie, une farce où chacun en prend pour son grade, où le principe de réalité et le bon sens l’emportent sur les théories les plus fumeuses. (Un spectacle) qui nous fait regretter le peu de visibilité du théâtre africain.»
L’Humanité (28 novembre 2005)

« Trois comédiens excellents, en communion constante avec un public qu’ils transportent littéralement au Mali.»
Le Courrier de l’Ouest (17 octobre 2005)

« Cette satire jouée par la troupe de BlonBa dans le style du théâtre populaire kotèba est assurément l’événement francophone du moment. Elle a séduit les publics du Festival de Limoges, de Luxembourg ou des Hautes-Alpes […] Nous voilà joyeusement inquiétés. »
Politis (24 novembre 2005)

« Nous avons beaucoup ri, mais nous avons aussi mieux compris, et cela grâce au théâtre, à une forme de théâtre venu de « là-bas », qui nous a parlé de là-bas, mais de nous ici aussi. Quelle belle et réjouissante autodérision. »
La Voix du Luxembourg (22 novembre 2005)

« Somewhat disappointed then with the parisian mainstream, I decided to search elswhere. It’s a pity more theatre can’t be so inviting. » (Quelque peu déçu par le mainstream parisien, je décidai de chercher ailleurs. Quel dommage qu’il n’y ait pas davantage de théâtre à proposer une telle invitation.)
British Theatre Guide (John Cardale, décembre 2005)

« In Bougouniéré invite à dîner, the delicious satire, A.I. Ndiaye and his longtime collaborator, the french philosopher Jean-Louis Sagot-Duvauroux, devised and created together the very essence of Africa’s postcolonial realities (and by extension, France’s colonial heritage) was being hilariously caricaturized and critically interrogated. Bougouniéré attains an eerie pertinence, as the riots prompts newly pressing questions and soul searching around France’s success in fully including ethnic minorities. » (Dans la délicieuse satire Bougouniéré invite à dîner imaginée et créée de concert par Alioune Ifra Ndiaye et son collaborateur de longue date le philosophe français Jean-Louis Sagot-Duvauroux, l’essence véritable des réalités de l’Afrique postcoloniale (et plus largement l’héritage colonial de la France) est caricaturée de manière hilarante et soumise au questionnement critique. Bougouniéré atteint une étrange pertinence, au moment où les émeutes font tout juste surgir de pressantes interrogations et où se pose la question de la capacité de la France à intégrer pleinement ses minorités ethniques.)
American Theatre (Randy Gener, 5 juin 2006)

Sud-Nord, le kotèba des quartiers

« C’est mené tambour battant par des interprètes qui ont du jus et de l’humour et qui prennent un plaisir visible à mastiquer une langue drue, truffée d’équivoques et de jeux sur les mots. »
Muriel Steinmetz, L’Humanité, 17 novembre 2007

« Saillies, engueulades et mauvaise foi sont le carburateur inépuisable de cette langue récréative. On se joue de la relation stéréotypée entre l’Africain et l’Occidental, on se moque sans pincettes des complexes développés par l’un et l’autre. C’est dans un rire salvateur que BlonBa traite du paradoxe de l’échange artistique, en faisant de la légèreté la garante de l’ouverture d’esprit. »
Eve Beauvallet, Mouvement, 21 novembre 2007

« Un débat très actuel en ces temps de chasse aux sans-papiers, de recherche effrénée de visas, de pirogues mortifères disparaissant dans le ventre de l’Atlantique et de communications Internet à tout va. On y rit beaucoup : d’eux et de nous, des Noirs et des Blancs, des riches et des pauvres. Grâce à un texte d’une pertinence rare et aux acteurs attachants. Un grand et bon souffle d’air qui nous vient comme un fort harmattan : ça fait du bien, mais ça peut aussi dessécher la gorge. »
Africamix, Olivier Herviaux, journaliste au Monde 2, 21 novembre 2007

Bama saba

« Témoignage de la jeunesse sur la société actuelle, Bama saba alterne subtilement des moments musicaux et des textes récités. »
Justine Spiegel, Jeune Afrique

« Le kotèrap débarque au Off d’Avignon avec Bama saba, un spectacle exprimant déboires et espoirs de la jeunesse malienne. »
Valérie Marin La Meslée, Le Point

« Servi par un texte criant de vérité, déclamé par des interprètes qui passent allègrement et avec brio du chant à la danse, Bama saba rappelle à certains européo-centristes que l’humanité et la civilisation sont nées en Afrique, et que le théâtre en est le fils aîné. »
Imhotep, architecte musical du groupe I Am

« Un spectacle captivant et époustouflant de bout en bout. »
Sékou Diakité, ministre du Développement social et de la Solidarité du Mali

Vérité de soldat

« Un spectacle à la fois dense et poignant, intelligemment exempt de pathos, drôle parfois et sidérant à bien des égards, remarquablement tenu et fort »
Catherine Robert, La Terrasse

« Un spectacle éminemment politique, aux antipodes de la mode du bruit et de la fureur d’aujourd’hui, voilà qui est rare et mérite attention. »
Jean-Pierre Han, Les Lettres françaises

« Une mise en scène apparemment simple, mais en fait relativement sophistiquée et très intelligente. »
Yvan Amar, La Danse des Mots, Rfi

« Intense et décapant, Vérité de soldat tourne une page de l’histoire du Mali. »
Séverine Kodjo-Grandvaux, Jeune Afrique

« Porté par des acteurs remarquables, Vérité de soldat se donne à voir avec la simplicité qui sied à tout témoignage essentiel. »
Fabienne Arvers, Les Inrockuptibles

« Au-delà du théâtre, le spectacle fonctionnera, au Mali du moins, comme une commission de la vérité, à l’image de ce qui s’est fait en Afrique du Sud après l’apartheid. Il sera une contribution théâtrale pour une catharsis de l’Indépendance. »
Kassim Traoré, Bamako hebdo

« Vérité de soldat bien plus qu’un spectacle, une œuvre s’est imposée comme essentielle. »
Muriel Mingau Le Populaire du Centre

« Vérité de soldat une pièce troublante et dérangeante », Pascal Paradou, Culture Vive, Rfi
« Le public est conquis par la Vérité de soldat »
José Marhino, Direct Monde, Rfi

« Cette pièce ne cesse de nous tirailler entre rire et larmes. Elle nous fait surtout réfléchir sur la décolonisation en Afrique. Pari réussi pour la compagnie Blonba. »
Afriscope

« Vérité de soldat, une pièce militante qui prend tout son sens dans l’histoire du Mali. À voir absolument. »
Eugénie Diecky, Africa n° 1

Tanyinibougou

« Un grand moment du théâtre catharsis. Au milieu de notre tragédie, trouver les mots et les actes pour faire rire, Alioune Ifra N’Diaye a su le faire avec « Tanyinibougou ». Chapeau bas »
Adam Thiam. Le Républicain

« Tanyinibougou est soldée: terrains vierges, terrains viabilisés, mosquée, cimetière, place publique, église, école, route, même la mairie…. Tout y passe. L’argent est encaissé. Que vont-ils en faire ? Le spectacle vous le dira. »
Mame Diarra Diop, Le Journal du Mali

« A travers Blonba, des acteurs du théâtre malien, en cette période tumultueuse pour notre vivre en commun, ont décidé d’inviter les Maliens à la réflexion. Sans le dire par cette démarche, ils veulent amener chaque Malien à réfléchir sur sa responsabilité individuelle et celle collective de la communauté nationale. Cet exercice a donné une pièce intitulée « Tanyinibougou » ou le village de ceux qui ne cherchent que leurs intérêts. »
Assane Koné, bamada.net

Plus fort que mon père

« Figure emblématique du hip-hop malien, (Ramsès) se met en scène dans un portrait musical où il apparaît comme un formidable acteur. »
Clarisse Jugmpam-Yakam, Jeune Afrique

« Plus fort que mon père démontre la difficulté de deux générations qui échouent parfois à s’accorder. Une génération ancienne encore ancrée dans la fondation de l’Empire du Mali du XIIIe siècle et la nouvelle génération qui ne cesse de respirer la nouveauté et qui a grandi avec internet. Malgré tout, et c’est la force de cette pièce, le dialogue s’installe. À découvrir ! »
Anglade Amédée, Africultures

«le grand prix du public a été décerné à la compagnie malienne BlonBa grâce à la pièce “Plus fort que mon père” interprétée par Michel Sangaré et Sidy Soumaoro Ramsès. Ces derniers ont tenu en haleine, plus d’une heure durant, le public venu nombreux à ce festival (Casamance en scène) dont le thème était axé autour de “’ouverture à d’autres cultures”».
Hubert Sagna, seneplus.com

Ala tè sunogo (Dieu ne dort pas)

« Voilà qui nous change d’air. Du théâtre populaire. Sans prétention, mais très ambitieux : il veut nous faire rire, y réussit, nous raconter aujourd’hui, et y réussit… »
Jean-Luc Porquet, Le Canard enchaîné

« La bouffée d’air théâtrale nous vient du Mali. Il ne faut pas manquer les formidables comédiens de la compagnie BlonBa. Ils savent tout faire, jouer, chanter, danser, nous faire rire et nous toucher. »
Marina Da Silva, L’Humanité

« Une satire férocement drôle de la situation politique et culturelle du Mali. BlonBa ose ici un mariage parfaitement réussi avec l’univers de la danse contemporaine pour un résultat dépaysant et bouleversant ! »
Audrey Jean, Théâtres.com

« Un petit bijou dramaturgique. Courez-y ! »
Valérie Marin La Meslée (chroniqueuse littéraire au Point), Novembre à Bamako

« Le spectacle vivant dans ce qu’il a de plus pur et de plus expressif. »
Camille Hispard, toutelaculture.com

« Une pièce qui parle sans fard des maux de la société malienne. »
Gangoueus, Chez Gangoueus

« La drôlerie, la poésie, la comédie de moeurs, la politique… »
Évelyne Trân, Théâtre au vent

Inch Allah !

« La saison du rire et de l’introspection commence-t-elle ce samedi au Palais de la Culture avec la pièce en bamanan Inchallah ? C’est permis de le croire car la nième œuvre de Alioune Ifra Ndiaye lancée voici deux semaines à l’Institut Français du Mali fait rire de bout en bout. Ne nous y trompons pas cependant, sous le rire, c’est la société malienne qui est encore disséquée. Et l’on en a froid dans le dos. »
Adam Thiam, Le Républicain

La danse ou le chaos

« La danse s’est emparée du jeune prodige, lui a permis de prendre son envol et d’atteindre cette liberté dont il rêvait ».
TV5, JT Afrique du 12/12/2017, Pascale Achard

« Il y a d’abord ce regard. Intense. Et puis ce corps, habité par la danse. Sa danse. Celle qui fait de lui un homme libre. »
RFI Hebdo, Corinne Binesti

« Etonnant miracle… Une histoire vraie, que l’on ne cesse de vouloir poursuivre, parce qu’elle est profondément juste et nécessaire. » ARCADI, Stéphanie Masson

Hóron

« Le spectacle magistral d’Alioune Ifra Ndiaye. »
Oussouf Diagola, Les Echos

Nos équipes

Des dizaines d’emplois artistiques

Nombreux sont les artistes et les créateurs qui depuis plus de vingt ans ont participé à des titres divers aux différentes productions ou coproductions de BlonBa. Leur liste constitue un florilège des talents d’hier et d’aujourd’hui :

Issiaka Bah « Amkoulel », Adama Bakayoko, Badri, Alimata Baldé, Betty Choco Deen Mandi, Georges Bigot, le groupe Biker K, Nouhoun Cissé, Boubacar Coulibaly, Kary Coulibaly, Lassine Coulibaly « King », Toumansé Coulibaly, Habib Dembélé, Cheick Diallo, Bakary Diarra, Hélène Diarra, Kadiatou Diarra, Oumou Diarra « Dièma », Djénéba Diawara, Fatoumata Diawara, Oumou Diawara, Maïnouma Doumbia, le Fortune Club de Bolibana, Oumar Fofana, François Ha Van, Nicolas Jalu, Issiaka « Papy » Kanté, Salah Keïta, Hamadoun Kassogué, Modibo Konaté, Djénéba Koné, Issouf Koné, Mamadou Koné, Mariétou Kouyaté, Sotigui Kouyaté, Christian Lajoumard, Patrick Le Mauff, Abdoulaye Mangané, Didier Mouturat, Alioune Ifra Ndiaye, Ismaël Ndiaye « Ismo », Tidiani Ndiaye, Chiaka Ouattara, Souleymane Ouattara, les Pipi de Kati, Simon Pitaqaj, Diamy Sacko, Jean-Louis Sagot-Duvauroux, Amaïchata Salamanta, Maïmouna Samaké, Sikadiè Samaké, Djibril Sangaré, Mamadou Sangaré, Michel Sangaré, Diarrah Sanogo, Maïmouna Sanogo, Souleymane Sanogo, Idrissa Soumaoro, Sidy Soumaoro « Ramsès », Kali Sidibé, Alladji Ismayl Sy, Lévis Togo, Gaoussou Yah Touré, Mamby Touré, Aïssata Traoré, Alou Traoré, Fily Traoré, N’Dji Traoré, Tièblen Traoré, Tyson ATT Traoré, Mohammed Yanogué, Maria Zachenska…

Autres emplois non artistique / La lumière, le son, les décors, les costumes, la régie, la vidéo, l’accueil, le gardiennage, la manutention, l’administration ont également mobilisé des dizaines de professionnels..

L’équipe du Complexe Culturel BlonBa (Bamako)

DIRECTION : Alioune Ifra Ndiaye
ADMINISTRATION : Drissa Samake
LOGISTIQUE : Mohamed Diakité
REGIE GENERALE : Youssouf Péliaba
REGIE SON : Issouf Sangaré
REGIE LUMIERE : Seydou Diarra
PRODUCTIONS AUDIOVISUELLES : Ismael Sy et Modibo Traoré

L’équipe de BaroDa/l’Arlequin (Morsang-sur-Orge)

DIRECTION : Jean-Louis Sagot-Duvauroux
DIRECTION DE PRODUCTION : Anne Sorlin
COORDINATION : Maria Zachenska
REGIE GENERALE ET DIRECTION TECHNIQUE : Pierre Cornouaille
BILLETTERIE : Laurence Botrel
RELATIONS PUBLIQUES : Josette Ponsart

L’équipe de Culture en partage

ADMINISTRATION : Cheick Makan Camara
RELATION AVEC LES PUBLICS : Alladji Ismaïl Sy
CONSEIL ARTISTIQUE : Jean-Louis Sagot-Duvauroux
NUITS DE SABALIBOUGOU : Modibo Konaté
LA CRÉATION EN 1000 JOURS : Lévis Togo, Assitan Tangara, Bibata Maïga, Kali Sidibé  

Le Manden a été fondé sur la concorde et l’amour, Sur la liberté et la dignité, Sur l’entente fraternelle. Il n’y a plus de préférence de race au Manden. Sous notre lutte, il y avait ces buts là. Aussi, les fils de Sanènè et Kontron donnent à l’adresse des douze parties du monde et au nom du Manden tout entier cette proclamation.
Nous disons :
Toute vie est une vie
Une vie voit le jour avant une autre, c’est vrai,
Pourtant, nulle vie n’a le droit d’aînesse sur une autre vie,
Nulle vie ne vaut mieux qu’une autre vie.
Serment des chasseurs, inspiré de la Charte du Manden