La danse ou le chaos

Un documentaire chorégraphique par et sur Souleymane Sanogo (Solo).

Chorégraphie : Tidiani Ndiaye 

Solo, la danse envahit le silence qui l’habite. La danse le choisit. Ce ne sera ni l’armée des enfants soldats, ni la mafia, ni le naufrage en Méditerranée, ni la violente roulette de la rue où l’existence l’a momentanément déposé. « La danse, c’est ma vie ». La danse n’est pas rien. Elle est une silencieuse mise en forme de l’être. Elle ne nait pas de rien, mais sur le socle d’une transmission, d’un savoir qui s’apprend, qui souvent s’apprend dans l’épreuve. Elle est une discipline. Elle est aussi la création de soi, une création toujours unique parce que chaque corps dans lequel elle advient est unique.

Galeries photos en toute fin du dossier – Lien ci-dessous, le sujet consacré au spectacle et à Souleymane Sanogo par TV5 Monde JT Afrique 12/12/2017

Souleymane Sanogo sur TV5 Monde

Un documentaire chorégraphique par et sur le danseur malien Souleymane Sanogo
Sur une idée de Jean-Louis Sagot-Duvauroux
Chorégraphie de Tidiani Ndiaye
Récit de Jean-Louis Sagot-Duvauroux et Souleymane Sanogo
Conseil de mise en scène François Ha Van
Régisseur Sylvain Leferrec
Une création de BlonBa/Théâtre de l’Arlequin avec la Compagnie Copier-Coller.

Contact : Jean-Louis Sagot-Duvauroux :

TOUT DE SUITE DE BEAUX ECHOS

TV5, JT Afrique du 12/12/2017
« La danse s’est emparée du jeune prodige, lui a permis de prendre son envol et d’atteindre cette liberté dont il rêvait ». Pascale Achard,
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RFI Hebdo
« Il y a d’abord ce regard. Intense. Et puis ce corps, habité par la danse. Sa danse. Celle qui fait de lui un homme libre. » Corinne Binesti
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ARCADI Actualités (sur les ateliers d’action artistique qui accompagnent le spectacle) Stéohanie Masson
« Etonnant miracle… Une histoire vraie, que l’on ne cesse de vouloir poursuivre, parce qu’elle est profondément juste et nécessaire. »
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UNE HISTOIRE VRAIE

L’histoire commence dans une bourgade de campagne, à 650 km au Nord de Bamako, Mali. L’enfant suit la ligne des plans de mil que sarclent sa houe, ses muscles, ses mains. La houe et le labeur sont trop lourds pour lui. L’enfant, de famille musulmane, porte le nom d’un roi d’Israël, Souleymane, Salomon, mais on l’appelle Solo.

Quinze ans d’âge. Solo médite son évasion. Un jour, il fuit. Les artifices de l’adolescence et les ruses de la liberté le conduisent dans la rue, à Bamako, la capitale. Nuits à la belle étoile et rapines en bande organisée. Repas mendiés et colles euphorisantes. Il ne dit pas tout. Voyages clandestins vers le Sénégal sur les tampons du train escaladés en chemin et d’où tombent les moins résistants. Un jour, sa mère vient à Bamako, retrouve sa trace, le supplie, le convoque. Il répond à son appel, se rend à sa convocation, écoute les suppliques, les remontrances, puis s’enfuit derechef.

Celui à qui l’histoire est racontée s’interroge.

  • La rue de Bamako, c’est dur. Pourquoi préfères-tu cette dureté au tendre appel de ta mère ?

Silence

  • Je préfère la rue à la compagnie de ma mère à cause de la liberté.
  • Le mot liberté, tu le dis comment en langue bamanan (bambara).

Silence

Longue, longue hésitation mutique, puis :

  • Je dirais… lafiya.

La réponse est inattendue. En langue bamanan, la traduction canonique du mot français « liberté » est horonya, qui désigne la liberté politique, le droit de cité. Lafiya est généralement traduit par tranquillité. Horonya : laisse-moi choisir ! Lafiya : laisse-moi tranquille ! Laisse moi aller là où me pousse la vie. En deçà du choix.

Un jour, un ami donne à Solo une curieuse information : il y a, ici, à Bamako, une dame qui fait danser les enfants des rues ; si tu acceptes d’être de ses enfants danseurs, elle te donne 1000 F par jour (1,5 €). Danser, Solo s’en moque. Danser pour être danseur, personne jamais n’a vécu de ça dans sa famille. 1000 F l’arrangent. Il vend des sachets d’eau pour vivre. Il les pose sur le bord de la route et part voir la dame qui fait danser les enfants. La danse le saisit. Il ne la quittera plus.

Un jour, remarqué par P.A.R.T.S., l’école chorégraphique fondée à Bruxelles par Anne Teresa de Keersmaeker, une des formations plus sélectives du monde, il y explore sans s’y perdre les savoirs les plus sophistiqués de cet art.

Souleymane Sanogo raconté par l’hebdo de RFI : 
Sur RFI

Vidéo ci-dessous : Souleymane Sanogo dans Ala tè sunogo/Dieu ne dort pas (2012). Première incursion de l’artiste dans le monde du théâtre, grâce à la Compagnie BlonBa qui lui confie le rôle d’un enfant des rues, muet, qui ne s’exprime qu’en dansant, dans un comédie de kotèba consacrée à la satire de la corruption (visible à Paris, théâtre de la Reine Blanche, du 2 au 6 mai 2018) 

UN DOCUMENTAIRE CHOREGRAPHIQUE SUR UN DESTIN D’AFRIQUE

« La Danse ou le chaos » est une pièce documentaire sur une histoire vécue, celle de Souleymane Sanogo, qui se déploie à travers un solo de danse contemporaine exécuté par l’artiste dont l’aventure est ainsi contée. Cette création s’inscrit dans une série de spectacles que la compagnie bamakoise BlonBa a consacrés à des figures de la vie artistique du Mali. Les premiers de ces spectacles ont permis de découvrir le destin de deux pionniers du mouvement hip hop bamakois, les rappeurs Lassy King Massassy (L’Homme aux six noms) et Ramsès Damarifa (Plus fort que mon père). Ils ont été tous les deux co-produits par le théâtre d’Ivry Antoine-Vitez et mêlaient le théâtre et la musique. Ces autobiographies théâtrales et musicales ont largement tourné au Mali, en France et au Sénégal. Plus fort que mon père, sélectionné au festival Casamance en scène (Ziguinchor, Sénégal) en a reçu le premier prix. « La Danse ou le chaos » constitue une nouvelle étape, avec cette fois l’intervention de la danse de création, en pleine effervescence dans toute l’Afrique. C’est par la force expressive de cet art qu’on entre dans la chair de l’histoire, qu’on en vit les ressorts profonds, qu’on en découvre les méandres et les aboutissements.

Dans cette vidéo tournée il y a dix ans, on reconnaît Souleymane Sanogo alors qu’il vient de quitter la rue pour la danse.

Au delà de son caractère auto-biographique, « La Danse ou le chaos » met en lumière (et en ombres) un des enjeux majeurs du continent : la bifurcation devant laquelle se trouve placée une jeunesse innombrable, d’une énergie acérée, mais sans boussole. La noyade en Méditerranée, le nihilisme suicidaire du djihadisme, l’enrôlement comme enfants soldats, la vénalisation du sexe, la désintégration culturelle sont possibles et malheureusement à l’œuvre. D’étonnants miracles se produisent néanmoins, nombreux, partout, transfigurant des destinées qui semblaient vouées au désespoir social et à l’étouffement. Cette bifurcation potentielle est une des figures les plus prenantes et les plus significatives du monde à naître, du monde qui germe au moment où l’hégémonie du projet occidental s’effrite.

QUESTIONS D’EUROPE

Les deux premiers spectacles de cette série de portraits d’artistes produits par la Compagnie BlonBa, quand ils ont été montrés en France à la jeunesse de quartiers populaires, ont provoqué une vive empathie de la part du public et souvent débouché sur des débats passionnants. En septembre 2016, la proviseure du lycée professionnel Ampère de Morsang-sur-Orge (91) a même choisi d’organiser le jour de la rentrée l’accueil des nouveaux élèves non pas dans l’établissement, mais autour du spectacle « L’Homme aux six noms » dans le petit théâtre que l’agglomération du Cœur d’Essonne a choisi de confier à l’antenne française de BlonBa. Elle pensait que la rencontre « culturelle » avec le destin du rappeur Lassy King Massassy né dans l’extrême pauvreté atténuerait le sentiment, fréquent dans les lycées « pro », d’être engagés dans une voie de garage pour élèves sans avenir ni talent. Pari gagné. En septembre 2017, une douzaine d’élèves du même lycée ont participé à un atelier conduit par Souleymane Sanogo et Tidiani Ndiaye autour de la création de La Danse ou le chaos. La représentation donnée à la fin de cet atelier devant les stagiaires et une soixantaine de leurs condisciples a plongé cette assistance peu habituée des plateaux de théâtre dans un émerveillement palpable qui démentait avec force la « malédiction » selon laquelle les publics populaires seraient « éloignés » par nature de la danse contemporaine.

LES EQUIPES DE BLONBA/CEP ET DE COPIER-COLLER

 « La danse ou le chaos » est une création de la compagnie théâtrale BlonBa/CEP, avec la compagnie de danse Copier-Coller, l’une et l’autre basées à Bamako, mais disposant d’antennes vivantes en France.

Souleymane Sanogo, danseur, en a donné le propos et en assure l’interprétation

Souleymane Sanogo est né le 24 octobre 1988 à Somadougou, au centre du Mali. Son enfance est vouée aux tâches de la maison et aux travaux des champs. A quinze ans, il s’enfuit à Bamako, où il partage la vie des enfants de la rue. Il découvre la danse en 2003 grâce à la chorégraphe haïtienne Kettly Noël, qui organise dans son centre chorégraphique bamakois Donko Séko des ateliers pour les enfants de la rue. Il y rencontre des chorégraphes venus du monde entier. Parallèlement, il apprend à lire et à écrire.

A partir de 2005, il est régulièrement engagé comme interprète dans des chorégraphies dont plusieurs connaissent une diffusion internationale. C’est notamment le cas en 2006 avec « Waterproof », une création d’Anuscka Brodacz (La Jeune Compagnie) grâce à laquelle il découvre l’Italie, de « Chez Rosette » (Kettly Noël, 2008) qui connaît une belle tournée française ou « Confinement » (Nelisiwe Xaba 1010), pièce qui l’emmène en Afrique du Sud.

En 2010, il participe à la création du Copier-Coller, une compagnie bamakoise de danse contemporaine installée dans le quartier populaire de Sabaligougou. Durant cette période, il participe d’une manière ou d’une autre à la plupart des grandes manifestations chorégraphiques qui se tiennent en Afrique de l’Ouest.

En 2011-2012, la compagnie théâtrale malienne BlonBa lui demande de à la création de son spectacle « Ala tè sunogo » (Dieu ne dort pas) qui mêle théâtre et danse contemporaine et avec lequel il tourne au Mali, en France et en Centrafrique. Il est ensuite sélectionné par P.A.R.T.S., l’école bruxelloise de renommée internationale fondée par la chorégraphe Anne Teresa de Keersmaeker dont il achève le cycle en 2016

Jean-Louis Sagot-Duvauroux, co-fondateur avec Alioune Ifra Ndiaye de la compagnie BlonBa, dramaturge et philosophe, a imaginé l’idée du spectacle et écrit son séquençage.
Jean-Louis Sagot-Duvauroux est essayiste et dramaturge. Il est engagé depuis plusieurs décennies dans la vie artistique du Mali. Il est notamment l’auteur du scénario et des dialogues de La Genèse, long métrage de Cheick Oumar Sissoko (sélection officielle Cannes 1999 « Un certain regard ») et l’un des fondateurs de la compagnie théâtrale bamakoise BlonBa pour laquelle il a écrit ou co-écrit une quinzaine de pièces. Il dirige le théâtre de l’Arlequin, à Morsang-sur-Orge, équipement confié à l’antenne française de la compagnie BlonBa par l’agglomération du Val d’Essonne https://theatrearlequin.morsang.net/.

Parallèlement, il poursuit un travail de réflexion sur les questions politiques et sociales. Ses ouvrages de philosophie politique explorent trois champs où se joue le dépassement de l’ordre actuel : dépassement du tout-marchand avec une réflexion au long cours sur la gratuité ; dépassement du racisme autour des questions liées à la construction identitaire des Européens d’ascendance africaine ; dépassement des paradigmes dans lesquels la modernité occidentale a produit et imposé son univers culturel.

Textes en libre accès : https://jlsagotduvauroux.wordpress.com/

Tidiani Ndiaye, danseur et chorégraphe, animateur de Copier Coller, en conduit la conception chorégraphique.
Après 4 ans de formation dans un centre de danse à Bamako, sous la direction de la chorégraphe haïtienne Kettly Noël, Tidiani Ndiaye obtient en 2009 le premier prix du Bal des Donkelaw organisée par l’Institut Français du Mali et Donko Seko avec sa première pièce « Être différent ».

Il entre au Centre National de Danse Contemporaine d’Angers (CNDC) sous la direction d’Emmanuelle Huynh en 2011 et obtient le diplôme national supérieur de danseur professionnel et une licence en « art du spectacle » de l’Université Paris VIII en 2013.

En septembre 2013, il entre au Centre National Chorégraphique de Montpellier au sein du master ex.e.r.ce sous la direction de Mathilde Monnier dont il sort diplômé en 2015. Depuis 2010, il mène des projets entre danse et art numérique.

En 2010, il crée la structure Copier Coller (centre de ressource multimédia et de création artistique) à Bamako avec la Cie Gilles Jobin, puis en 2013 l’association Copier Coller à Angers (France).

Tidiani a dansé comme interprète avec la Compagnie Gilles Jobin dans « Le Chainon Manquant » (Suisse) et la pièce VRI (Réalité Virtuelle Immersive); avec la Compagnie BlonBa dans « Ala te sunogo », (France/Mali); Nelsime Xaba (Nigeria); La Compagnie Dagada dans « Grenzland » (Allemagne); Qudus Aderemi Onikeku dans « We almost forgot » (Nigeria/France), Serge Aimé Coulibaly  « Kalakuta Republic » (Belgique, Burkina Faso).

Autres pièces chorégraphiques créées par Tidiani N’Diaye :

  • 2009 : Être Différent, à l’Institut Français de Bamako
  • 2014 : Moi, Ma Chambre et Ma Rue
  • 2015: Naturel Mystique
  • 2017 : Bazin
  • 2017: La Danse Ou le Chaos

François Ha Van, comédien, metteur en scène, directeur d’une école de théâtre, a travaillé avec Souleymane Sanogo le jeu d’acteur et conseillé Tidiani Ndiaye pour la mise en scène.
Cette équipe a déjà été réunie, notamment pour la création de la pièce Ala tè sunogo (Dieu ne dort pas) qui mêlait théâtre et danse contemporaine, un spectacle représenté une soixantaine de fois au Mali, en France, en Centrafrique, en Côte d’Ivoire et en Tunisie. Ala tè sunogo a été sélectionné en 2016 par le Masa d’Abidjan et par les Journées théâtrales de Carthage. 

UN SPECTACLE TOUT TERRAIN : REPRESENTATIONS, ATELIERS…

Travail d’atelier
Travail d’atelier avec un groupe de la MJC de Sainte-Geneviève-des-Bois

La création de La Danse ou le chaos a abouti à deux propositions :Un spectacle chorégraphique de 55 mn, La Danse ou le chaos, qui peut s’intégrer aux programmations classiques des institutions dédiées à la diffusion du spectacle vivant.

Des parcours incluant des performances participatives dans des lieux de vie (établissements scolaires, locaux associatifs, éventuellement appartements…) avec en conclusion une version « tout terrain » du spectacle (35mn). Ces parcours peuvent être construits sur mesure avec les institutions ou les lieux que le concept intéresse. Ils peuvent aussi se conclure par La Danse ou le chaos dans sa version longue si les conditions techniques sont réunies.

Émotion de la séparation après une semaine d’ateliers avec des élèves du lycée professionnel Louis-Marie Ampère (Morsang-sur-Orge, 91)

En voici une forme simple :

Autour du thème « Un tournant dans ma vie », un atelier est mis en place pour un petit groupe de personnes intéressées. Les participants sont invités à rechercher et à raconter « un tournant dans leur vie », une bifurcation à l’image de celle évoquée dans « La danse ou le chaos », même si ce « tournant » peut être et sera souvent plus léger que celui effectué par Souleymane Sanogo. Chaque récit/témoignage est recueilli sous la forme d’un court film en vidéo. A partir de ce matériau, le groupe recherche les gestes qui peuvent exprimer l’âme de l’histoire, puis un travail chorégraphique mené avec la personne concernée par Souleymane Sanogo ou Tidiani Ndiaye aboutit à un module vidéo/danse. Mis bout à bout, les différents modules donnent lieu à une restitution publique, puis à La Danse ou le chaos, soit dans la petite forme qui ne nécessite pas d’être présentée dans un lieu équipé, soit dans sa version longue.

DEUX EXEMPLES DE PERFORMANCES DANSE/VIDEO SUR LE THEME « UN TOURNANT DANS MA VIE » FILMES EN FRANCE

TROIS EXEMPLES DE PERFORMANCES DANSE/VIDEO SUR LE THEME « UN TOURNANT DANS MA VIE » FILMES AU MALI

Tidiani Ndiaye, chorégraphe, et Souleymane Sanogo, danseur, en répétition

Ces actions parallèles entre la France et le Mali et les modules danse/vidéo permettent par le vecteur des réseaux du net des échanges directs et personnalisés entre les deux pays. Un moyen de populariser la danse contemporaine et de resserrer les liens entre les civilisations.

LES PREMIERES DATES

22 septembre 2017 – Performances « Un tournant dans ma vie » avec un groupe du lycée professionnel Louis-Marie Ampère + La Danse ou le chaos/version courte. Théâtre de l’Arlequin, Morsang-sur-Orge, 91

27 octobre 2017 – Performances « Un tournant dans ma vie » avec des familles réunies par la MJC de Corbeil-Essonnes + La Danse ou le chaos. Théâtre de Corbeil.

25 novembre 2017 – Performances « Le risque de l’exil » +La Danse ou le chaos/version courte dans le cadre d’une soirée organisée par le festival La Science de l’art avec le Collectif pour la culture en Essonne. Théâtre de l’Arlequin, Morsang-sur-Orge, 91, de 18h à 22h.

2 décembre 2017 – Performances « Un tournant dans ma vie » avec l’espace intergénérationnel de la cité des Larris +La Danse ou le chaos/version courte. Espace intergénérationnel des Larris, Fontenay-sous-Bois, 94.

9 décembre 2017 – Performances « Un tournant dans ma vie » réalisées avec la MJC de Corbeil-Essonnes + La Danse ou le chaos, 20h. Dans le cadre du festival Essonne-Mali. Théâtre de Corbeil, 91

15 décembre 2017 – Représentation de La Danse ou le chaos pour le lycée professionnel Ampère de Morsang-sur-Orge. Théâtre de l’Arlequin, Morsang-sur-Orge, 17h. Dans le cadre du festival Essonne-Mali

17 décembre 2017 – La Danse ou le chaos. Théâtre de l’Arlequin, Morsang-sur-Orge, 17h. Dans le cadre du festival Essonne-Mali

13 au 18 février 2018 – Performances « Un tournant dans ma vie » avec le lycée Marcel-Pagnol d’Athis-Mons (91), soutien d’Arcadi + La Danse ou le chaos au théâtre de l’Arlequin.

29 mars 2018 – Performances « Un tournant dans ma vie » + La Danse ou le chaos. CNDC d’Angers, 18h.

31 mars 2018 – Performances « Un tournant dans ma vie » réalisée avec des maisons de quartier d’Angers et l’association A Bama + La Danse ou le chaos. Maison pour tous de Montplaisir.

19 mai 2018 – La Danse ou le chaos, Longpont-sur-Orge, festival Ici ailleurs, destination Afrique.

UNE CARRIETE INTERNATIONALE

La danse ou le chaos a été diffusé en France, en Belgique (Espace Senghor, Bruxelles, 2018) et en Inde (Festival des Francophonies à Pondichéry (sur notre photo). Il est à nouveau invité en Inde pour le mois de mars 2020.

 

LES ELEVES DU LYCEE PROFESSIONNEL AMPERE ECRIVENT A SOULEYMANE SANOGO APRES LA SEMAINE D’ATELIER « UN TOURNANT DANS MA VIE »

« Solo, tu apportes beaucoup de choses envers les personnes, comme passer devant un public et retirer la honte qu’on peut avoir en nous. Justement, grâce à toi Solo je n’ai plus honte de passer devant un public. Maintenant, grâce à toi, je suis ouvert. Tu étais un tournant dans ma vie. » – R.

 « J’ai trouvé la danse contemporaine assez bien parce qu’on parle avec son corps. La semaine au théâtre était formidable, car on apprenait de nouvelles choses. Ce que j’ai bien aimé aussi, l’expérience du théâtre, car je n’avais jamais fais ça auparavant. A cette sortie j’ai pu m’intégrer dans la classe TCAP, car je suis nouveau. » – T.

 « Mon moment préféré a été le jour où j’étais parmi les spectateurs, parce que j’ai pu voir la pièce de théâtre de Solo. Cette semaine-là j’ai vraiment été fier d’être Malien parce que vous aviez su nous transmettre une culture africaine. » – D.

 « Sachez que j’ai passé une incroyable et merveilleuse semaine en votre compagnie, car vous m’avez fait découvrir une nouvelle culture superbe, le fait de découvrir la danse contemporaine, l’immersion dans un théâtre pendant une semaine. » – S.

SOULEYMANE SANOGO AU TRAVAIL AVEC SON CHOREGRAPHE TIDIANI NDIAYE

Photos Corinne Binesti

Consulter l’album des répétition

SOULEYMANE SANOGO INTERPRETE « LA DANSE OU LE CHAOS »

Photos Margo Tamazé

Consulter l’album du spectacle

CONDITIONS FINANCIERES (Europe)

« LA DANSE OU LE CHAOS », Spectacle chorégraphique
Cession du spectacle « La Danse ou le Chaos »

  • Idée originale : Jean-Louis Sagot-Duvauroux
  • Chorégraphie : Tidiani N’Diaye
  • Direction d’acteur : François Ha Van
  • Texte et récit : Jean-Louis Sagot-Duvauroux, Souleymane Sanogo
  • Avec : Souleymane Sanogo
  • Personnel en tournée : 1 danseur, 2 régisseurs

Cession d’une représentation :

  • 1 500€ H.T. + TVA 5,5%
  • + transport décor : 50€/ jour + 0,50€/km au départ de Morsang-sur-Orge
  • + défraiements Syndéac 3 personnes, hors Ile de France
  • + Droits d’auteurs SACD, SACEM

Cession d’une série (à partir de 3 représentations / 1 représentation par jour)  : 1 200€ H.T/ représentation + TVA 5,5%

  • + transport décor : 50€/ jour + 0,50€/km au départ de Morsang-sur-Orge
  • + défraiements Syndéac 3 personnes, hors Ile de France
  • + Droits d’auteurs SACD, SACEM

ATELIER « UN TOURNANT DANS MA VIE »

Stage d’une durée de 12h à 20h (4 heures/jour), comprenant une restitution d’atelier par les stagiaires, suivi d’une représentation du solo « Mes évasions », version légère de « La danse ou le chaos ».

Intervenants :

  • Souleymane Sanogo, danseur
  • Sylvain Le Ferrec, régisseur et vidéaste (deux derniers jours de stage + représentation)

Tarif horaire unitaire : 125€ H.T.

Prix total pour un atelier de 12 h :

  • 1 500€ H.T. + TVA 5,5%
  • + transport : 0,35€/km au départ de Morsang-sur-Orge
  • + indemnités Syndéac repas de midi 2 personnes
  • + défraiements Syndéac 2 personnes, hors Ile de France

mai 8 @ 20:00
20:00

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